In 1915, the Columbia Graphophone Company of New York requested that Beaudry put them into contact with Québécois artists in the hopes they could obtain French language music for their francophone customers in New England.
Beaudry did so, and Jean-Marie Magnan, Joseph-Henri Thibodeau, Hector Pellerin, François-Xavier Mercier, Damase DuBuisson, Alfred Nohcor and Honoré Vaillancourt all recorded with Columbia as a result of these efforts.
[1] Around 1920, Beaudry began a collaboration with J Hervey Germain, who recorded eighteen of Beaudry's songs between 1920 and 1925, including: Au revoir Mimi, non pas adieu (1920), Au printemps ma Lizon (1921), Nos vieux parents (1921), Rien qu’un baiser (1921), Mimi printemps (1921), N’oubliez pas (1922), La rose du boulevard (1922), Le sheik d’Arabie (1922), Ah!
These included L’amour pardonne (1924), L’amour se souvient (1924), Berce mon rêve (1924), Chante rossignol chante (1924), Dis-le moi (1924), Hier, aujourd’hui, demain (1925), Il ne faut pas pleurer pour ça (1925), J’ai toujours vingt ans (1925), Mais si tu reviens un jour (1925), Laisse-moi te dire (1926), Il fallait des anges au paradis (1927), Pour quelqu’un qu’on aime (1927) and Tu prends plaisir à me voir souffrir (1927).
Beaudry's most insightful move may have been supporting Mary Bolduc in spite of the lack of success on her first release, Y'a longtemps que je couche par terre.
Beauchemin recorded Au milieu de la nuit (1926), Bonjour l’amour (1927), Ramona (1928), Un coin de ciel bleu (1928), À l’ombre des lilas (1928), Jeannine au temps des lilas (1928), Mademoiselle Mimi (1928), Mon Angéline (1929), Mon château d’Espagne (1929), Au sommet du monde (1929), Bonjour mon bel oiseau bleu (1929), Dis-moi que tu pardonnes (1929) and J’ai trouvé l’amour (1929) by Beaudry.